Rencontre avec Hello Bye Bye

Aujourd’hui nous vous présentons un jeune groupe venant tout droit de Bordeaux, il s’agit du groupe Hello Bye ByePratiquant un électro pop très puissant, le groupe a déjà sorti un premier album éponyme fin 2010 chez Discograph suivi d’une tournée. Une écriture plus personnelle, une efficacité ressentie dans leurs nouveaux titres, mélange d’électro pop. Hello Bye Bye, c’est un groupe plein de fraîcheur « Better Day », mais aussi quelques fois une ambiance plus psychédélique « Life Is Now », il y a de tout, même aussi des bombes électro-pop « Famous« , « Let’s Hive Happy Waiting For Our Dying Day« , tout y est. Leur nouveau maxi se nomme « Let’s live happy waiting for our dying day » à paraître le 4 Décembre prochain, un groupe à découvrir ou redécouvrir. Voici donc une petite interview faite avec le groupe…

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  •  Salut, une petite présentation du groupe pour commencer ?

Salut, alors le groupe est né fin 2008 , mais la formation actuelle date de 2010. On est basé à Bordeaux. Nous sommes 4 : Célia (chant/claviers), Franck (Batterie) , Thomas (Bass) et Moi même (Stéphane , chant/guitare/programmation). On évolue dans un style electro pop voire electro post-rock, on a sorti un premier album éponyme fin 2010.

  •  Pourquoi le nom Hello Bye Bye ?

Au départ, une référence au morceau « Hello Good-Bye » des Beatles (qu’on adore), et puis on avait aussi envie d’un nom qui ait une résonance internationale, pratiquant nous même un style de musique  très anglo-saxonne.

  • Comment s’est passée cette année pour vous ?

C’est une année assez riche pour le groupe, une sorte de « retour aux affaires » ! En effet, on préparait tranquillement un second album dans notre local quand on a appris que notre label de l’époque (Pyromane Records) cessait son activité … On s’est donc retrouvé « à la rue », livrés à nous même avec plus de 20 morceaux en chantier ! Du coup, on a décidé d’autoproduire un EP « Let’s live happy waiting for our dying day » qui est sorti le 4  décembre dernier et de se remettre sur la route pour le défendre en live.

  •  Avez-vous des projets pour 2013 ?

Clairement oui, on va sortir notre second album à la rentrée Sept/Oct 2013 et quelques sessions d’enregistrement. D’ici là, un maximum de dates de concerts dont celles ci:

 08/01/2013 : « We are the lions » @ le Réservoir – PARIS

02/02/2013 : Release Party #3 @ Pommiers-Moulons – MONTENDRE (17)

22/02/2013 : Le Salon – AUCH (32)

23/02/2013 : La Baraka – CLERMONT-FERRAND (63)

22/03/2013 : West-Rock – COGNAC (16)

  • Quels sont vos coups de coeurs de l’année 2012 ?

Sharitah Manush, groupe de Bordeaux avec qui on partage souvent l’affiche et qui défonce ! Grizzly bear « Shields », Cubenx « On your own again », Heirs « Hunter », Mogwaï « Hardcore will never die, but you will », Tinariwen  » Tassili » et M83 « Hurry up, we’re dreaming »

 

  • Des rencontres marquantes depuis le début de l’aventure ?

Il y en a eu pas mal ! D’abord, Jean Louis Brossard, programmateur des Transmusicales qui nous y a fait jouer fin 2008 (c’était notre 3ème concert) Quelques groupes dont on a croisé la route et dont on est fan, genre Death in Vegas, les Sharitah Manush qui sont des gens adorables. La Nef, salle de concert à Angoulême qui nous aide énormément et Eugène qui nous manage depuis peu avec sa structure « Menthe à l’eau ».

 

  • Quelles sont vos influences musicales ? Est-ce que vous vous reconnaissez à travers des groupes ? 

Un mélange de pop, d’électro avec une pincée de post rock … Tout un programme ! Oui, on se reconnait dans des groupes comme Lcd Soundsystem, Chemical Brothers (4 premiers albums), Death in Vegas (époque « Scorpio Rising »), Dandy Warhols (Second album « Thirteen Tales From Urban Bohemia » énormissiiiime), Ride, Mogwaï  …

  • Bonne fête de fin d’année à vous, merci HBB et au plaisir.

A l’heure où je te réponds, le monde est censé finir, mais bon, rien n’a l’air de se passer et c’est tant mieux car on a du pain sur la planche en 2013! Bonnes fêtes de fin d’année à vous tous.

 Merci à Nicolas de La Centrifugeuse Communication et à Stéphane de nous avoir accorder cette interview.

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